• Ca y est, ils l'ont fait et chéri et moi nous y étions...

    Un petit mot pour graver dans le marbre, ou plutôt dans le web, une trace de cette soirée arrosée et cette merveilleuse journée.

    La soirée entre jeunes (si si c'est bien nous, tout est relatif je sais) était plus que sympa, j'ai fait connaissance avec une star du blog (une autre!) vraiment adorable, avec tout un tas de gens dont j'avais beaucoup entendu parlé, et qu'évidemment j'ai apprécié, la soeur de la pacsée entre autres (le dicton les amis de mes amis fonctionne apparemment), retrouvé quelques têtes connues qui valent le détour (notamment un bonobo qui veut faire la revolucion).

    Quant au jour de la fête, c'était du pur bonheur : endroit idéalement paisible, excellent repas, tout le monde réuni...
    Ils étaient beaux (comme toujours).
    Du verre blanc a été cassé (ma grand-mre dit que ça porte-bonheur).
    On a ri (au détriment de blondes parfois, désolée pour elles...).
    Elle a pleuré.

    Ce n'est pas avec ce post que je vais attirer des lecteurs, il n'intéresse pas grand monde, mais qu'est-ce que ça fait du bien de passer des journées comme ça, je ne voudrais l'oublier pour rien au monde.

    J'ai la banane.


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  • Des jours que l'on préfèrerait sauter, mais hélas on n'a pas le choix du menu.

    Alors la veille, on appréhende, on a la bouche sèche, l'impression qu'une boule est venue se frayer un chemin dans notre gorge, cette sensation de poids sur la poitrine qui nous fait respirer difficilement. On a du mal à s'endormir parce que la perspective du lendemain tourne en boucle dans notre tête.

    Et puis, on y arrive.

    Jour J, est-ce que tout est OK?, je n'ai rien oublié avant de partir?, la tension est palpable dans la maison. Mieux vaut éviter de croiser mon chemin. 

    L'angoisse monte, la caravane passe.
    Finalement ce n'était rien du tout. Une broutille. Prise avec le sourire en plus.


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  • J'étais en train de faire un peu de rangement dans le local, on était au milieu de l'été, en plein après-midi. La sonnette retentit. Cela m'étonna, qui pouvait sonner à ce moment-là?

    C'est là que je fis sa connaissance. Il m'expliqua ce qu'il voulait, me parla de son rêve professionnel, je lui ai parlé de l'asso, en y mettant tout mon coeur, toute mon implication, je lui ai expliqué que ce que nous faisions était différent de ce dont il rêvait, mais que ça pouvait lui plaire, notre action étant similaire, et que ça pouvait aussi lui mettre le pied à l'étrier. Il fut séduit par mon argumentaire, je compris tout de suite qu'il allait s'impliquer lui aussi et devenir quelqu'un de décisif.

    Il a avancé très vite au sein de l'asso, toujours souriant, le genre de gars que tout le monde aime. Travailler à ses côtés est tellement agréable, il est clair dans ses explications, précis dans ses gestes, il a l'esprit d'équipe.

    Son rêve s'est enfin réalisé. Il va donc partir. Je suis vraiment heureuse pour lui. Il va me manquer. En fait il me manque déjà.


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  • Je vis aujourd'hui dans le quartier de mon enfance.
    Ce n'est pas quelque chose que je souhaitais particulièrement, c'est simplement une opportunité qui s'est présentée.
    Et j'avoue que j'en suis très heureuse.

    Lorsque je vais chez les commerçants du quartier, je m'amuse des images du passé qui me traversent : les étals que je parvenais à peine à voir, l'éblouissement face aux devantures, l'odeur et la chaleur de la pizzeria. Je sais ce que sont devenus les commerçants (la plupart ne sont plus là, mais leurs commerces continuent de vivre, la pizzeria par exemple a été reprise par un ancien client). Ceux qui sont toujours présents sont à la pointe de la technologie : le maraicher dispose d'un arrosage automatique, le pâtissier s'est agrandi, il s'est lancé avec succès dans les chocolats. Ce lancement reste un souvenir fort : il avait fabriqué une immense bouteille de vin en chocolat, et l'avait offert aux riverains présents.

    Quant au boulanger son four est toujours aussi magnifique, mais le pain est encore meilleur que dans mon souvenir.


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  • Mon corps ne répond pas comme d'habitude, la température monte. Le mécanisme semble grippé. Pourtant le réservoir d'eau est bien rempli. Je ne comprend pas...

    J'ai donc vérifié une nouvelle fois le réservoir d'eau, et il était déjà bien entamé. Une fuite? Non pourtant. Apparemment c'est une conséquence du déraillement du mécanisme, qui compense par une consommation d'eau plus forte. Mais cela ne va pas suffire à résoudre le problème.

    J'espère qu'il n'y aura pas de pièces à changer.
    D'après un site bien connu de mécanique corporelle, non c'est inutile, les réparations de grand-père sont à éviter: pas d'immersion du véhicule dans une eau plus fraiche (tout va rouiller!), inutile de faire monter encore plus la température (monter le chauffage ou enrouler dans une couverture pourrait provoquer un incendie) par contre pour régler ce problème de surchauffe de l'huile de paracétamol ou d'ibuprofène conviendra très bien. Ne pas utiliser la machine quelque temps, et elle sera comme neuve, en parfait état de marche.


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